L'autre jour, Angel vous a décrit son voyage en train pour me rejoindre ici, à Ben-city. Aujourd'hui, je vous propose de découvrir ce que je vivais au même instant.
Le matin, je prends la décision dramatique de me rendre chez le coiffeur, tout en prenant soin de prendre rendez-vous avec Max (c'est à dire n'importe qui mais PAS ma coiffeuse habituelle, qui me gratifie systématiquement d'un pertinent "mais si vous voulez vous laisser pousser les cheveux faut pas venir me voir !" et agrémente nos échanges au cours de la séance de taille par des "quand ils seront longs vous pourrez mettre un serre-tête, y a plein de garçons qui le font" ou "en tout cas là faut pas revenir avant pfiou... au moins 6 mois ! moi par exemple mes cheveux pour atteindre cette longueur j'ai dû attendre 5 ans, c'est long de les laisser pousser" ; sauf que, connasse, je n'ai aucune envie d'avoir ta longueur de cheveux, et si tu ne comprends pas le sens du mot "désépaissir", c'est sans doute parce que ton cerveau ne doit pas être bien épais).
Bref, étant donné que, cette fois, j'ai l'intention de me faire sévèrement taillader la tignasse, je vais éviter de donner à cette saloperie de coiffeuse le plaisir de me lancer un pénible "ah ben vous voyez, vous avez pas pu résister finalement, hahaha, vous vous faites tout couper !" (oui, parce qu'une coiffeuse bête (pléonasme ? prions pour qu'aucune prêtresse capillaire ne nous lise avec assiduité), c'est sadique, en plus ; pourquoi croyez-vous qu'elles bossent avec des rasoirs et des ciseaux et nous attaquent systématiquement les oreilles, en jurant ensuite qu'elles n'ont pas fait exprès ?...).
Bref encore -après cette trop longue introduction-, je sors de chez Max avec ma nouvelle petite coupe, je vais à la gare chercher Angel. Et là, dans le métro, dans les couloirs, et même dans la rue, quelque chose s'empare de moi, je ne sais pas... c'est... mon dieu, est-ce possible ?! Mais... mais oui !
JE ME LA PETE GRAVE !
Et là, je me rends compte que ça faisait des mois que je ne m'étais pas senti mignon en public, fier d'arborer ma petite gueule devant la masse vulgaire des laids -heu, des gens. Et vous savez quoi ? Ben on a beau dire que c'est superficiel tout ça, il n'empêche que ça fait du bien à l'ego de moi-même. La prochaine fois, je vous raconterai peut-être les séances de bronzette de Ben et Angel en plein Ben-city. Ou pas.
Le matin, je prends la décision dramatique de me rendre chez le coiffeur, tout en prenant soin de prendre rendez-vous avec Max (c'est à dire n'importe qui mais PAS ma coiffeuse habituelle, qui me gratifie systématiquement d'un pertinent "mais si vous voulez vous laisser pousser les cheveux faut pas venir me voir !" et agrémente nos échanges au cours de la séance de taille par des "quand ils seront longs vous pourrez mettre un serre-tête, y a plein de garçons qui le font" ou "en tout cas là faut pas revenir avant pfiou... au moins 6 mois ! moi par exemple mes cheveux pour atteindre cette longueur j'ai dû attendre 5 ans, c'est long de les laisser pousser" ; sauf que, connasse, je n'ai aucune envie d'avoir ta longueur de cheveux, et si tu ne comprends pas le sens du mot "désépaissir", c'est sans doute parce que ton cerveau ne doit pas être bien épais).
Bref, étant donné que, cette fois, j'ai l'intention de me faire sévèrement taillader la tignasse, je vais éviter de donner à cette saloperie de coiffeuse le plaisir de me lancer un pénible "ah ben vous voyez, vous avez pas pu résister finalement, hahaha, vous vous faites tout couper !" (oui, parce qu'une coiffeuse bête (pléonasme ? prions pour qu'aucune prêtresse capillaire ne nous lise avec assiduité), c'est sadique, en plus ; pourquoi croyez-vous qu'elles bossent avec des rasoirs et des ciseaux et nous attaquent systématiquement les oreilles, en jurant ensuite qu'elles n'ont pas fait exprès ?...).
Bref encore -après cette trop longue introduction-, je sors de chez Max avec ma nouvelle petite coupe, je vais à la gare chercher Angel. Et là, dans le métro, dans les couloirs, et même dans la rue, quelque chose s'empare de moi, je ne sais pas... c'est... mon dieu, est-ce possible ?! Mais... mais oui !
JE ME LA PETE GRAVE !
Et là, je me rends compte que ça faisait des mois que je ne m'étais pas senti mignon en public, fier d'arborer ma petite gueule devant la masse vulgaire des laids -heu, des gens. Et vous savez quoi ? Ben on a beau dire que c'est superficiel tout ça, il n'empêche que ça fait du bien à l'ego de moi-même. La prochaine fois, je vous raconterai peut-être les séances de bronzette de Ben et Angel en plein Ben-city. Ou pas.
N'oublie pas que tu fais partie des cute supérieurs ;-)
RépondreSupprimerJe sais bien, Karbie, du coup c'est une responsabilité terrible, je me DOIS de me la péter. C'est juste que des fois, pas le temps, j'oublie mon rôle dans la société et je me comporte comme un individu normal. Et puis tout à coup, je vais chez le coiffeur, et là je me souviens : la plèbe attend de nous, cutes supérieurs, que nous nous la pétions.
RépondreSupprimerAprès tout, c'est le prix à payer pour faire partie de l'élite physique... Ah, qu'il est parfois dur d'être un sex-symbol...
RépondreSupprimerMaman, ne pouvais-tu pas me concevoir laid, ou du moins "classique" ? Pourquoi fallait-il que tu me pares de cette beauté sidérale et handicapante ?
RépondreSupprimerTous vos amis sont munis de fusils à dards tranquillisants, j'espère.
RépondreSupprimerPour neutraliser notre beauté lorsqu'elle devient incontrôlable ? Bien entendu :D
RépondreSupprimerEt de sacs poubelles, pour recouvrir nos visages aux traits si divins... ^^
RépondreSupprimerHello ben et karbie !
RépondreSupprimerSamedi c'est l'anniversaire de mon blog !
hihi !
j'organise une soirée et j'aimerai que votre présence soit de la partie !
Merci de me tenir au courant
Bisou MisterBitch
misterb1tch@gmail.com
Hmm ça va pas être possible misterbitch ^^'
RépondreSupprimer